Mission de l'institut

L’Institut International d’Impédimentologie (i3) a pour mission de promouvoir une meilleure prise en compte des comportements humains et des obstacles au changement dans les stratégies et les politiques de transition sociétale.

Mission de l'institut

L’Institut International d’Impédimentologie (i3) a pour mission de promouvoir une meilleure prise en compte des comportements humains et des obstacles au changement dans les stratégies et les politiques de transition sociétale.

Qu’entend-on par transition ?

Transitionner signifie « passer d’un état à un autre ». Plus spécifiquement, une transition sociétale est une transformation profonde des paradigmes à l’œuvre dans les comportements humains, suffisamment forte pour concerner la majorité des individus composant une société.

L’humanité a déjà connu par le passé bon nombre de transitions sociétales. Ça a par exemple été le cas lorsqu’au néolithique, nous sommes passés du statut de chasseur-cueilleur à celui d’agriculteur-éleveur. Ça a ensuite été le cas aux 19e

et 20e siècle lorsque plusieurs dizaines de systèmes politiques sont passés du régime monarchique à un régime républicain. Les exemples de ces transitions sociétales sont nombreux.

Aujourd’hui, notre espèce est confrontée à ce qui sera peut-être son ultime défi : opérer une transition de l’ère de l’Anthropocène vers une ère du respect des limites planétaires. Ce défi majeur, qu’il nous faut relever d’ici les prochaines décennies sous peine d’effondrements à venir, implique d’entreprendre un certain nombre de « sous-transitions », que nous énumérons ici à titre non exhaustif :

Transition écologique

Transition agro-alimentaire

Transition énergétique

Passage d’une société fondée sur la déconnexion des êtres humains avec leur environnement vivant et non vivant... à une société humaine dont les enjeux socioéconomiques sont systématiquement pensés en interaction avec leur écosystème naturel, dans un souci de préservation de l’équilibre des milieux et dans le but d’en garantir l’habitabilité à long terme pour l’ensemble des espèces qui y vivent.
Passage d’une production de masse de produits ultra-transformés... à un système de production diversifié et localisé, favorisant les produits bruts de saison et faiblement transformés, majoritairement végétariens, produits via une agriculture biologique ou équivalente, sourcés localement et dont le modèle économique est équitable pour tous les acteurs de la chaine de valeur.
Passage d’un monde fonctionnant majoritairement grâce aux énergies fossiles... à un monde 100 % décarboné, moyennant la mise en place de mix énergétiques en adéquation avec les territoires, basés sur des objectifs d’efficacité et de sobriété.

Transition des mobilités

Transition économique

Transition industrielle

Passage d’une sur-mobilité carbonée et individuelle... à une mobilité raisonnée, limitant les besoins de déplacement, les distances parcourues et les vitesses, et tendant à favoriser la mise en place de stratégies de démobilité, les modes doux individuels et les modes de transport collectifs motorisés.
Passage d’une économie focalisée sur la croissance à l’infini des indicateurs financiers... à une économie de réduction globale de la production et de la consommation, dans un souci de soutenabilité, de justice sociale et de bien-être, et d’une recherche de symbiose entre les êtres humains et les écosystèmes.
Passage d’un système de production extractiviste, dispersant les ressources brutes dans des biens matériels ultra-transformés et produisant au passage des pollutions diverses... à un système industriel cherchant à répondre aux besoins tout en tendant vers une extraction nette zéro, une transformation limitée facilitant le réemploi et le recyclage, sobre en énergie et dont les extrants deviennent des intrants pour d’autres acteurs industriels.

Transition urbaine

Transition entrepreneuriale

Passage d’une urbanisation fondée sur la division du territoire en zones d’affectation, l’exode rural, l’étalement urbain, l’artificialisation des sols et le monopole de la voiture... à une urbanisation circulaire, mixte, favorisant la construction de la ville sur elle-même, la mutualisation des espaces, l’intensification des usages et un dégonflement démographique des villes au profit d’un réinvestissement des zones rurales.
Passage d’un modèle d’entreprise basé sur la génération de profits financiers et de déchets... à un modèle d’entreprise contributive, remplaçant les principes de linéarité et de propriété par ceux de circularité, de fonctionnalité et d’usage.

Qu’entend-on par transition?

Transitionner signifie « passer d’un état à un autre ». Plus spécifiquement, une transition sociétale est une transformation profonde des paradigmes à l’œuvre dans les comportements humains, suffisamment forte pour concerner la majorité des individus composant une société.

L’humanité a déjà connu par le passé bon nombre de transitions sociétales. Ça a par exemple été le cas lorsqu’au néolithique, nous sommes passés du statut de chasseur-cueilleur à celui d’agriculteur-éleveur. Ça a ensuite été le cas aux 19e et 20e siècle lorsque plusieurs dizaines de systèmes politiques sont passés du régime monarchique à un régime républicain. Les exemples de ces transitions sociétales sont nombreux.

Aujourd’hui, notre espèce est confrontée à ce qui sera peut-être son ultime défi : opérer une transition de l’ère de l’Anthropocène vers une ère du respect des limites planétaires. Ce défi majeur, qu’il nous faut relever d’ici les prochaines décennies sous peine d’effondrements à venir, implique d’entreprendre un certain nombre de « sous-transitions », que nous énumérons ici à titre non exhaustif :

Transition écologique

Passage d’une société fondée sur la déconnexion des êtres humains avec leur environnement vivant et non vivant… à une société humaine dont les enjeux socioéconomiques sont systématiquement pensés en interaction avec leur écosystème naturel, dans un souci de préservation de l’équilibre des milieux et dans le but d’en garantir l’habitabilité à long terme pour l’ensemble des espèces qui y vivent.
Transition agro-alimentaire

Passage d’une production de masse de produits ultra-transformés… à un système de production diversifié et localisé, favorisant les produits bruts de saison et faiblement transformés, majoritairement végétariens, produits via une agriculture biologique ou équivalente, sourcés localement et dont le modèle économique est équitable pour tous les acteurs de la chaine de valeur.
Transition énergétique

Passage d’un monde fonctionnant majoritairement grâce aux énergies fossiles… à un monde 100 % décarboné, moyennant la mise en place de mix énergétiques en adéquation avec les territoires, basés sur des objectifs d’efficacité et de sobriété.
Transition des mobilités

Passage d’une sur-mobilité carbonée et individuelle… à une mobilité raisonnée, limitant les besoins de déplacement, les distances parcourues et les vitesses, et tendant à favoriser la mise en place de stratégies de démobilité, les modes doux individuels et les modes de transport collectifs motorisés.
Transition économique

Passage d’une économie focalisée sur la croissance à l’infini des indicateurs financiers… à une économie de réduction globale de la production et de la consommation, dans un souci de soutenabilité, de justice sociale et de bien-être, et d’une recherche de symbiose entre les êtres humains et les écosystèmes.
Transition industrielle

Passage d’un système de production extractiviste, dispersant les ressources brutes dans des biens matériels ultra-transformés et produisant au passage des pollutions diverses… à un système industriel cherchant à répondre aux besoins tout en tendant vers une extraction nette zéro, une transformation limitée facilitant le réemploi et le recyclage, sobre en énergie et dont les extrants deviennent des intrants pour d’autres acteurs industriels.
Transition urbaine

Passage d’une urbanisation fondée sur la division du territoire en zones d’affectation, l’exode rural, l’étalement urbain, l’artificialisation des sols et le monopole de la voiture… à une urbanisation circulaire, mixte, favorisant la construction de la ville sur elle-même, la mutualisation des espaces, l’intensification des usages et un dégonflement démographique des villes au profit d’un réinvestissement des zones rurales.
Transition entrepreneuriale

Passage d’un modèle d’entreprise basé sur la génération de profits financiers et de déchets… à un modèle d’entreprise contributive, remplaçant les principes de linéarité et de propriété par ceux de circularité, de fonctionnalité et d’usage.

Pourquoi s’intéresser
aux obstacles à la transition?

1 / Parce qu’en dépit de la prise de conscience collective grandissante, les conséquences de l’Anthropocène sont plus que jamais visibles, et l’explosion des limites planétaires, toujours plus exponentielle.

2 / Parce que le traitement des obstacles grevant des parcours de vie est une évidence pour tout un chacun, mais que cette évidence disparait dès qu’il s’agit d’opérer des transitions à l’échelle de sociétés humaines.

3 / Parce que là où nous pensions avoir des problèmes techniques auxquels apporter des réponses techniques, nous comprenons que les conséquences physiques de l’Anthropocène sont en fait le fruit de nos comportements.

4 / Parce que seul un changement radical de nos comportements peut être en mesure d’apporter une réponse de fond à nos enjeux sociétaux. Il apparaît dès lors que l’identification et le traitement de ce qui fait obstacle à ces changements de comportement est le corollaire incontournable à toute action individuelle et collective.

5 / Parce que la systémique nous apprend que la non-prise en compte des obstacles paradigmatiques dans les dispositifs d’aide et d’accompagnement aux changements de comportements favorise en réalité l’homéostasie, à savoir le retour du système à son état d’origine.

6 / Parce que l’obstacle est une quête de toutes les époques et de toutes les disciplines, à commencer par l’art, la religion et la philosophie.

7 / Parce que nous nous induisons nous-mêmes en erreur en voulant voir dans toute pensée se rapportant aux obstacles quelque chose de foncièrement négatif, là où il n’y a en réalité qu’objectivité, lucidité et esprit de méthode.

8 / Parce qu’il apparait de plus en plus que le fait de parler de la planète ne suffit pas à régénérer le système Terre.

9 / Parce que la grande majorité des penseurs de la transition reconnaissent l’existence de verrouillages sociotechniques empêchant la mise en œuvre des pistes de solutions qu’ils promeuvent.

10 / Parce que si les sciences du comportement abordent usuellement la problématique des leviers d’action et d’inaction, elles le font souvent de manière silotée, selon un point de vue partiel de la réalité et sans objectif clair lié aux transitions sociétales.

11 / Parce que nous concevons le savoir comme une dichotomie entre les sciences dites « dures » (les sciences physiques), et les sciences dites « molles » (les sciences humaines, dont les sciences du comportement), et que cette vision tronquée de la réalité est justement ce qui constitue une entrave à une pensée de l’obstacle.

12 /  Parce qu’il nous reste très peu de temps pour agir, sous peine de connaitre des effondrements sociétaux majeurs.

Pourquoi s’intéresser spécifiquement
à la question des obstacles à la transition ?

1 / Parce qu’en dépit de la prise de conscience collective grandissante, les conséquences de l’Anthropocène sont plus que jamais visibles, et l’explosion des limites planétaires, toujours plus exponentielle.

  

2 / Parce que le traitement des obstacles grevant des parcours de vie est une évidence pour tout un chacun, mais que cette évidence disparait dès qu’il s’agit d’opérer des transitions à l’échelle de sociétés humaines.

  

3 / Parce que là où nous pensions avoir des problèmes techniques auxquels apporter des réponses techniques, nous comprenons que les conséquences physiques de l’Anthropocène sont en fait le fruit de nos comportements.

  

4 / Parce que seul un changement radical de nos comportements peut être en mesure d’apporter une réponse de fond à nos enjeux sociétaux. Il apparaît dès lors que l’identification et le traitement de ce qui fait obstacle à ces changements de comportement est le corollaire incontournable à toute action individuelle et collective.

  

5 / Parce que la systémique nous apprend que la non-prise en compte des obstacles paradigmatiques dans les dispositifs d’aide et d’accompagnement aux changements de comportements favorise en réalité l’homéostasie, à savoir le retour du système à son état d’origine.

  

6 / Parce que l’obstacle est une quête de toutes les époques et de toutes les disciplines, à commencer par l’art, la religion et la philosophie.

  

7 / Parce que nous nous induisons nous-mêmes en erreur en voulant voir dans toute pensée se rapportant aux obstacles quelque chose de foncièrement négatif, là où il n’y a en réalité qu’objectivité, lucidité et esprit de méthode.

  

8 / Parce qu’il apparait de plus en plus que le fait de parler de la planète ne suffit pas à régénérer le système Terre.

  

9 / Parce que la grande majorité des penseurs de la transition reconnaissent l’existence de verrouillages sociotechniques empêchant la mise en œuvre des pistes de solutions qu’ils promeuvent.

  

10 / Parce que si les sciences du comportement abordent usuellement la problématique des leviers d’action et d’inaction, elles le font souvent de manière silotée, selon un point de vue partiel de la réalité et sans objectif clair lié aux transitions sociétales.

  

11 / Parce que nous concevons le savoir comme une dichotomie entre les sciences dites « dures » (les sciences physiques), et les sciences dites « molles » (les sciences humaines, dont les sciences du comportement), et que cette vision tronquée de la réalité est justement ce qui constitue une entrave à une pensée de l’obstacle.

  

12 /  Parce qu’il nous reste très peu de temps pour agir, sous peine de connaitre des effondrements sociétaux majeurs.

  

Qu’est-ce que l’impédimentologie ?

Le mot impédimentologie est un néologisme issu du grec empodôn et du latin impedi, qui signifient littéralement « dans les pieds », et, par extension, « obstacle, gêne, empêchement », et du suffixe -logie, pour « étude, science ».

L’impédimentologie peut donc être comprise comme un nouveau champ de recherche-action transdisciplinaire dont le but est d’étudier les obstacles aux changements sociétaux, en particulier ceux s’appliquant au passage de l’ère de l’Anthropocène vers une ère du respect des limites planétaires, et des divers moyens de les traiter.

Un obstacle, au sens impédimentologique, est à comprendre comme un paradigme humain dont les effets sont contraires à un changement désiré par une partie de la collectivité. Il se décline généralement en attitudes et en comportements bloquants.

Ainsi, l’impédimentologie consiste à identifier les attitudes et comportements grevant les phénomènes transitionnels. Mais elle ne procède pas seulement par logique soustractive (au sens « d’enlever » des obstacles), et sa vocation consiste également en la proposition d’expédients permettant le traitement des obstacles en question. Pensés comme des antidotes aux attitudes et comportements bloquants, les expédients sont des suggestions de comportements dont les effets sont inverses à ceux produits par les comportements posant problème.

Le Manuel d’un monde en transition(s) recense une centaine d’expédients, au minimum un par obstacle au changement, au premier rang desquels on peut trouver l’idée d’expérimenter les communs, celles de développer des projets intergénérationnels de transition, ou encore d’imaginer des réseaux de politique parallèle. À la collectivité de s’en emparer !

Qu’est-ce que l’impédimen- tologie ?

Le mot impédimentologie est un néologisme issu du grec empodôn et du latin impedi, qui signifient littéralement « dans les pieds », et, par extension, « obstacle, gêne, empêchement », et du suffixe -logie, pour « étude, science ».

L’impédimentologie peut donc être comprise comme un nouveau champ de recherche-action transdisciplinaire dont le but est d’étudier les obstacles aux changements sociétaux, en particulier ceux s’appliquant au passage de l’ère de l’Anthropocène vers une ère du respect des limites planétaires, et des divers moyens de les traiter.

Un obstacle, au sens impédimentologique, est à comprendre comme un paradigme humain dont les effets sont contraires à un changement désiré par une partie de la collectivité. Il se décline généralement en attitudes et en comportements bloquants.

Ainsi, l’impédimentologie consiste à identifier les attitudes et comportements grevant les phénomènes transitionnels. Mais elle ne procède pas seulement par logique soustractive (au sens « d’enlever » des obstacles), et sa vocation consiste également en la proposition d’expédients permettant le traitement des obstacles en question. Pensés comme des antidotes aux attitudes et comportements bloquants, les expédients sont des suggestions de comportements dont les effets sont inverses à ceux produits par les comportements posant problème.

Le Manuel d’un monde en transition(s) recense une centaine d’expédients, au minimum un par obstacle au changement, au premier rang desquels on peut trouver l’idée d’expérimenter les communs, celles de développer des projets intergénérationnels de transition, ou encore d’imaginer des réseaux de politique parallèle. À la collectivité de s’en emparer !

Quels sont les objectifs de l’i3 ?

L’objectif premier de l’i3 est de promouvoir et développer une meilleure connaissance du rôle des obstacles dans les processus d’action et d’inaction face aux enjeux sociétaux. Cela passe par 3 types d’action :

1 / Opérer un recensement des obstacles à la transition et des comportements dits rédhibitoires, ainsi que d’un panel de pistes d’action

« Difficile de combattre contre un ennemi que l’’on ne connait pas ». L’i3 a donc pour tâche première d’inventorier méticuleusement les obstacles paradigmatiques à l’œuvre dans les processus de transition (dont 101 ont été répertoriés à ce jour), les comportements rédhibitoires (à savoir les actions concrètes découlant de ces obstacles paradigmatiques), ainsi que les expédients (du latin expedio, qui signifie « sortir le pied », et au sens figuré « débrouiller, arranger, mettre en ordre »), qui sont des dispositifs de déverrouillage de comportements bloquants et de facilitation du passage à l’action.

2 / Proposer des stratégies, des méthodologies et des modes opératoires quant au traitement des obstacles à la transition

Afin de rendre accessible au plus grand nombre une notion nouvelle et complexe par nature, l’Institut élabore tout un panel de supports didactiques et de nouveaux outils de représentation, mis à la disposition du grand public.

3 / Diffuser massivement  la méthode impédimentologique auprès d’organisations afin d’accélérer le processus de mue de nos sociétés.

L’i3 travaille de concert avec de multiples organisations (entreprises, collectivités publiques, fondations, associations, collectifs de citoyens, etc.) par la préraration d’outils didactiques, de fresques, de jeux et de conférences ; par la publication d’ouvrages et d’articles dans des revues spécialisées ; par l’élaboration d’actions de terrain, par le pilotage de projets pilotes et par la formation des professionnels comme des populations civiles à une pensée appliquée de l’obstacle au changement.

Manuel d’un monde en transition(s)

En mars 2025, l’i3 institue l’impédimentologie comme nouveau champ de recherche et d’action, en publiant le Manuel d’un monde en transition(s), aux éditions de l’Aube.

Cet ouvrage a pour objectif de recenser les obstacles structurels empêchant l’enclenchement et la mise en œuvre à grande échelle des transitions, notamment celle consistant à passer de l’ère de l’Anthropocène à une ère du respect des limites planétaires. Ils sont regroupés en 4 catégories : obstacles (ou pierres d’achoppement) neuropsychologiques, épistémologiques, politologiques et sociologiques. C’est donc au total 101 obstacles qui sont passés au tamis de cette grille thématique, décortiqués de manière accessible et imagée, en offrant au lecteur la possibilité de bénéficier d’une vision d’ensemble sur « ce qui coince » dans les processus de changement.

Un ouvrage dirigé et co-écrit par Lucas Verhelst, avec les contributions de Jean-Eudes Arnoux, Amélie Aubert Plard, Aurélien Boutaud, Camille Bréant, Julia Despois, Samuel Dixneuf, Stéphane Durand, Charles-Guillaume Held, Pol Henry, Pascal Le Pautremat, Fabio Müller, Valentine Python, Paul Stephan, Émilie Rioust, Jonathan Schuite, Philippe Vallat, Fanny Verrax et Yanis Ziani, et postfacé par Arthur Keller.

Manuel d’un monde en transition(s)

En mars 2025, l’i3 institue l’impédimentologie comme nouveau champ de recherche et d’action, en publiant le Manuel d’un monde en transition(s), aux éditions de l’Aube.

Cet ouvrage a pour objectif de recenser les obstacles structurels empêchant l’enclenchement et la mise en œuvre à grande échelle des transitions, notamment celle consistant à passer de l’ère de l’Anthropocène à une ère du respect des limites planétaires. Ils sont regroupés en 4 catégories : obstacles (ou pierres d’achoppement) neuropsychologiques, épistémologiques, politologiques et sociologiques. C’est donc au total 101 obstacles qui sont passés au tamis de cette grille thématique, décortiqués de manière accessible et imagée, en offrant au lecteur la possibilité de bénéficier d’une vision d’ensemble sur « ce qui coince » dans les processus de changement.

Un ouvrage dirigé et co-écrit par Lucas Verhelst, avec les contributions de Jean-Eudes Arnoux, Amélie Aubert Plard, Aurélien Boutaud, Camille Bréant, Julia Despois, Samuel Dixneuf, Stéphane Durand, Charles-Guillaume Held, Pol Henry, Pascal Le Pautremat, Fabio Müller, Valentine Python, Paul Stephan, Émilie Rioust, Jonathan Schuite, Philippe Vallat, Fanny Verrax et Yanis Ziani, et postfacé par Arthur Keller.

Le codex impédimentologique

Le codex impédimentologique est une proposition de représentation graphique des obstacles au changement répertoriés dans le Manuel d’un monde en transition(s), classés par typologie d’obstacles, à savoir les obstacles (ou pierres d’achoppement) neuropsychologiques, épistémologiques, politologiques, et enfin, sociologiques.

À propos de nous

L’institut international d’impédimentologie (i3) est une association basée à Genève et organisée sous la forme d’un think tank.

Son objectif premier est de promouvoir et développer une meilleure connaissance du rôle des obstacles dans les processus d’action et d’inaction face aux enjeux sociétaux.

Son comité d’administration est dirigé par Lucas Verhelst, Fabio Müller, Valentine Python et Stéphane Durand.

Son comité d’experts est composé de sociologues, de philosophes, de neurologues, de professeurs d’université, de géopolitologues, d’urbanistes, de climatologues, d’environnementalistes, et de spécialistes des sciences du comportement.

L’I3 s’engage à diffuser ses connaissances afin d’accélérer les grandes transitions annoncées, en particulier celle consistant à passer de l’ère de l’Anthropocène à une ère du respect des limites planétaires.

À propos de nous

L’institut international d’impédimentologie (i3) est une association basée à Genève et organisée sous la forme d’un think tank.

Son objectif premier est de promouvoir et développer une meilleure connaissance du rôle des obstacles dans les processus d’action et d’inaction face aux enjeux sociétaux.

Son comité d’administration est dirigé par Lucas Verhelst, Fabio Müller, Valentine Python et Stéphane Durand.

Son comité d’experts est composé de sociologues, de philosophes, de neurologues, de professeurs d’université, de géopolitologues, d’urbanistes, de climatologues, d’environnementalistes, et de spécialistes des sciences du comportement.

L’I3 s’engage à diffuser ses connaissances afin d’accélérer les grandes transitions annoncées, en particulier celle consistant à passer de l’ère de l’Anthropocène à une ère du respect des limites planétaires.

Nos partenaires

Nos partenaires

L’Institut international d’impédimentologie (i3) s’est fixé pour mission de promouvoir une meilleure prise en compte des comportements humains et des obstacles au changement dans les stratégies et les politiques de transition sociétale.

Pour toute proposition de collaboration, de sponsoring, de mécénat, ou de participation à des évènements divers, merci de nous contacter en nous écrivant à info@i3-institut.org.

Contact

© 2024 I3

Genève 1228

Plan-les-Ouates

Téléphone : +41 (0)22 886 01 75

Mail : info@i3.org

L’Institut International d’Impédimentologie (I3) s’est fixé pour mission de promouvoir une meilleure prise en compte des comportements humains et des obstacles au changement dans les stratégies et les politiques de transition sociétale.

Pour toute proposition de collaboration, de sponsoring, de mécénat, ou de participation à des évènements divers, merci de nous contacter en nous écrivant à info@i3.org.

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